Le télétravail a pris une place prépondérante dans le paysage professionnel français, avec une adoption, particulièrement au sein des entreprises qui ont adopté un modèle hybride. Selon un sondage, plus de 80 % des Français ont une image positive de cette pratique, qui semble bien correspondre aux attentes d’une grande majorité des salariés : deux jours de télétravail et trois jours au bureau. Cependant, cette flexibilité n’est pas accessible à tous, car elle est principalement réservée aux cadres, avec 75 % d’entre eux ayant déjà expérimenté le télétravail.

À l’échelle internationale, la France se classe au huitième rang en matière de télétravail, loin derrière des pays comme le Brésil et l’Inde. En effet, 80 % des Brésiliens travaillent régulièrement depuis divers lieux, tandis que 92 % des télétravailleurs français préfèrent leur domicile.

En janvier 2024, environ 29 % des salariés pratiquent régulièrement le télétravail, une baisse par rapport au pic de 41 % observé durant la pandémie en 2020. Une étude récente indique que 46 % des responsables RH envisagent d’autoriser deux jours de télétravail par semaine d’ici 2025, soulignant une tendance vers un modèle hybride.

Cependant, cette évolution soulève des questions d’équité. Alors que certains bénéficient d’une plus grande flexibilité, d’autres demeurent attachés à un modèle de travail traditionnel. Les entreprises doivent donc trouver un équilibre pour intégrer le télétravail sans creuser les inégalités entre les différentes catégories professionnelles.

Chez Leyland & Leyland, nous vous apportons l’expertise juridique et stratégique essentielle pour accompagner la croissance de votre entreprise, en vous fournissant des solutions sur mesure pour chaque défi rencontré